Dans une large cohorte britannique, un apport plus élevé en oméga-3 à longue chaîne (acides gras polyinsaturés) est inversement et linéairement associé au risque de polyarthrite rhumatoïde (−9 à −10 % par écart-type). En parallèle, l’effet protecteur est majoré chez les sujets à risque génétique élevé, avec des interactions additives antagonistes et des médiations protéiques impliquant CD80 et ...