Surveiller les taux d’hydroxychloroquine dans le sang permettrait de sécuriser le traitement du lupus : au-delà de 1 150 ng/mL le risque de toxicité systémique doublerait sans bénéfice clinique supplémentaire, tandis que le créneau 750-1 150 ng/mL réduirait de 40 % l’activité de la maladie. Une vigilance particulière doit être observée dès le stade 3 de maladie rénale chronique.