Le biais sexiste n’épargne pas la médecine, notamment en cardiologie. Une étude française enapporte une nouvelle preuve en comparant les ordonnances dans le champ de l’HTA.
Une vaste cohorte nationale suédoise montre que, même avec des stents actifs de seconde génération, le diabète reste associé à un sur-risque net d’échec de stent (resténose et thrombose), surtout en cas de diabète de type 1.