Chez plus de 10 000 cirrhotiques compliqués et traités par spironolactone et furosémide, l’adjonction d’un inhibiteur du SGLT2 réduirait de 32% le risque composite ascite, varices, hyponatrémie et mortalité à 3 ans (HR = 0,68), tout en diminuant le recours aux ponctions d’ascite et le syndrome hépatorénal. Aucune alerte majeure de tolérance n’est ressortie de ce suivi rétrospectif multicentrique.