Chez les femmes traitées pour un cancer du sein localisé, un modèle composite de risque à 10 ans, fondé sur des données cliniques courantes et les expositions thérapeutiques (anthracycline, anti-HER2, autres), discrimine nettement les profils à faible et haut risque d’insuffisance cardiaque/cardiomyopathie améliorant la surveillance cardiaque.