Longtemps considérée comme une affection « mécanique », conséquence logique de l’âge et de l’usure, l’arthrose serait aussi une maladie métabolique. Une piste thérapeutique inattendue venue du diabète et de l’obésité, bouleverse les certitudes : les agonistes du GLP-1 pourraient bien changer la donne.
L’arthrose, on l’a trop longtemps regardée comme une maladie « mécanique ». Du cartilage qui s’use, de la douleur qui monte, et à la fin… une prothèse. Une vision simpliste, pratique pour remplir les blocs opératoires, mais bien pauvre en termes de compréhension scientifique.