Les inhibiteurs de checkpoints font partie intégrante de la pratique clinique quotidienne en cancérologie. La plupart des effets secondaires immuno-induits (gastro-intestinaux, troubles de la glycémie ou de la fonction thyroïdienne, hépatiques...) sont désormais connus et monitorés. Cependant, certains effets secondaires mettant plus de temps à s’exprimer comme les effets cardiologiques, au point de les considérer comme un facteur de risque cardiovasculaire à parte ...