Deux cycles d’immunothérapie en néoadjuvant puis quinze cycles en adjuvants, en complément de la chirurgie et de la radio(chimio)thérapie, abaisseraient d’un tiers le risque de rechute ou de décès à trois ans sans accroître la toxicité sévère. Le bénéfice serait maximal pour les tumeurs PD-L1 CPS ≥ 10.