Un traitement par immunothérapie permettrait d’éviter la chirurgie dans une large proportion de tumeurs solides et digestives précoces (estomac, rectum, œsophage) avec déficience du système de réparation des mésappariements de l'ADN (dMMR), sans compromettre la survie sans récidive. C’est l’avènement des traitements sans chirurgie première dans cette population particulière.