Chez l’adulte obèse sans diabète, le double‑agonisme GIP/GLP‑1 du tirzépatide aboutit une perte pondérale moyenne de –20,2 % contre –13,7 % pour le mono‑agonisme GLP‑1 du semaglutide, sans signal de sécurité inattendu. L’intérêt de l’association de l’agonisme du GIP contre l'obésité se confirme donc dans cette étude randomisée pragmatique et ouverte.