La contraception hormonale reste un facteur de risque avéré de thrombose veineuse, avec des variations importantes selon la dose d’œstrogènes et le type de progestatif. Selon une étude nationale sur plus d’un million de femmes suivies 10 ans, les pilules faiblement dosées en estrogènes, les pilules progestatives seules et les dispositifs intra-utérins sans œstrogènes semblent avoir le risque le plus faible.