La prise d’inhibiteurs de la pompe à protons (IPP) avant la conception ou au 1er trimestre de la grossesse serait associée à une augmentation du risque d’infections aux 2e et 3e trimestres et en post-partum. Chez les femmes enceintes, la prescription d’un IPP doit être évaluée chez les femmes à risque d'infection, en privilégiant une durée minimale et des mesures hygiéno-diététiques.