Dans la sclérose en plaques, les MICI et la dermatite atopique, 1 à 3 % des patients seraient porteurs d’un variant génétique pathogène à l’origine d’une maladie génétique mimant la maladie courante, avec des répercussions sur le diagnostic et l’efficacité des traitements. Un séquençage systématique ciblé chez des profils à risque (phénotype atypique, sévérité précoce, échec ...