À 9 ans de suivi des mélanomes résécables sous immunothérapie adjuvante, un anti-PD1, le nivolumab confirme son avantage de survie sans récidive et de survie sans métastase à distance versus ipilimumab, un inhibiteur du CTLA4, dans les mélanomes stades IIIB–C/IV réséqués, avec une tolérance plus favorable versus ipilimumab.
Une étude observationnelle réalisée en Alsace montre un raccourcissement du délai de première prescription d’un traitement hautement efficace dans la forme récurrente-rémittente de sclérose en plaques.