Chez des adultes de 45 à 65 ans mis récemment sous antidiabétiques, les agonistes du GLP1 (aGLP-1) seraient associés à un risque plus élevé d’arthrose incidente et de prothèse totale de genou que les inhibiteurs du SGLT2 (iSGLT2), lorsque l’on tient compte des changements de traitement au cours du temps. Le semaglutide serait à part.
Dans une large cohorte norvégienne, des prescriptions d’opioïdes chez les parents sont associées à un risque accru d’initiation et surtout d’usage persistant chez leurs enfants devenus adolescents ou jeunes adultes. L’effet est indépendant de l’antécédent parental de douleur musculo-squelettique et persiste après ajustements, plaidant pour des stratégies de prise en charge centrées sur la famille afin de prévenir une exposition évitable ...