Longtemps considérée comme une affection « mécanique », conséquence logique de l’âge et de l’usure, l’arthrose a été abordée avec un schéma simpliste : soulager la douleur en attendant la prothèse. Depuis plus de trente ans, aucune molécule n’a réussi à modifier l’histoire naturelle de cette maladie. Les anti-inflammatoires, infiltrations et antalgiques restent le quotidien. Mais une piste inattendue venue du ...
L’arthrose, on l’a trop longtemps regardée comme une maladie « mécanique ». Du cartilage qui s’use, de la douleur qui monte, et à la fin… une prothèse. Une vision simpliste, pratique pour remplir les blocs opératoires, mais bien pauvre en termes de compréhension scientifique.