Deux essais randomisés récents montrent qu’une monothérapie par inhibiteur de P2Y12 après infarctus n’a pas le même profil de bénéfices/risques selon le moment où l’aspirine est arrêtée. Un arrêt très précoce en post-angioplastie immédiat apparaît risqué, tandis qu’un arrêt à 1 mois chez des patients sélectionnés à faible risque semble conciliable avec la sécurité ...