Une inhibition ciblée de l’aldostérone synthase réduirait la pression artérielle d’un quart et normaliserait le rapport aldostérone-rénine chez plus de 90 % des patients. Cette stratégie, dépourvue d’effets anti-androgènes ou hypocortisoliques, pourrait transformer la prise en charge d’une pathologie encore sous-traitée.
À un an, les patients souffrant d’hypertension intracrânienne idiopathique (HTIC) traités par un agoniste du récepteur GLP-1 auraient deux fois moins de céphalées et d’œdèmes papillaires, nécessiteraient moitié moins souvent une intervention de dérivation et réduiraient leur polythérapie, sans amaigrissement spectaculaire.