Chez les patients souffrant de spondylarthrite ankylosante (SpA), des doses élevées d'anti-inflammatoires non-stéroïdiens (AINS) augmenteraient le risque de maladies cardiovasculaires, telles que les cardiopathies ischémiques, les accidents vasculaires cérébraux et l'insuffisance cardiaque congestive, par rapport à des doses plus faibles.