Chez près de 460 000 femmes ménopausées précocement et suivies jusqu’à 55 ans, l’œstrogénothérapie « non opposée » serait associée à une réduction relative de 14 % des cancers du sein précoces, tandis que l’association œstrogène + progestatif augmenterait de 10 à 18 % ce risque, surtout en cas d’utilisation > 2 ans et pour les tumeurs ER-négatives.