Au-delà des prédispositions génétiques, de l’alimentation et de l’exercice physique, la composition du microbiote intestinal pourrait participer à la régulation pondérale, selon des études réalisées pour l’instant uniquement chez l’animal. Très personnel, au point d’être un autre ADN, il est impliqué dans de nombreux mécanismes métaboliques. En vogue à juste titre aussi dans d’autres spécialités comme la pneumologie ou même la dermatologie, la connaissance toute récente du microbiote ouvre de surprenantes perspectives.