Onco-gynéco

Cancer de l’ovaire BRCA 1-2 : quelle place pour le Rucaparib ?

Dans la course aux inhibiteurs de PARP, l’étude ARIEL 4, démontre un bénéfice en survie sans progression de 36% du Rucaparib vs une chimiothérapie, dans une population de cancers de l’ovaire déjà pré traités, platine-sensibles ou non, mutés BRCA 1-2, germinale ou somatique.

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