onco-dermatologie

Mélanome et immunothérapie : gare aux effets secondaires tardifs après l’introduction

Les inhibiteurs de checkpoints (anti-PD-1 tels que nivolumab ou pembrolizumab) font désormais partie du gold standard de la prise en charge du mélanome métastatique et restent connus pour être pourvoyeurs d’effets secondaires immuno-induits dans un délai médian de 40 jours après introduction. Cependant, des effets secondaires ont été rapportés au-delà de deux ans après initiation du traitement, certains de haut garde (III-IV) et doivent faire prolonger la surveillance post-traitement.

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JDF