Médecine générale
Fin de vie : qualité du reste à vivre plutôt que pronostic vital engagé
La Haute Autorité de Santé estime qu’il n’est pas possible de fonder l’aide à mourir sur un "pronostic vital engagé à moyen terme", suggérant plutôt d’évaluer la "qualité du reste à vivre" et la souffrance du patient.
