La surveillance active des risques intermédiaires
Les cancers de la prostate de faible risque évolutif représentent environ la moitié des cancers diagnostiqués de façon précoce, en raison de l’utilisation du PSA. Le risque pour les patients porteurs de ce type de cancer est le surtraitement. La surveillance active de ces patients permet d’éviter le surtraitement initial, et de décaler dans le temps le moment du traitement.
Comment ne pas traiter trop tôt ni trop tard ? Quels sont les bons critères de sélection des patients pour la surveillance active ? Peut-on élargir ces critères à des formes plus agressives ? L’imagerie moderne permet-elle de mieux surveiller les patients ?
La « grande question » se penche sur cette problématique, et tente d’apporter des éléments de réponse.
Nos invités :
Luc Cormier et Géraldine Pignot
Animée par Dr François Rozet
Avec le soutien institutionnel de :









