LA MALADIE CHRONIQUE FACE AU COVID… ET À SON ÉVOLUTION (SUITE)

Nous poursuivons notre tour de France des pathologies au moment du déconfinement.
Une proportion non négligeable de la population – estimée à près de 18 millions de personnes – présente un risque particulier de développer une forme grave de COVID-19, et parmi celles-ci, beaucoup de patients atteints de maladies chroniques.
De plus, ces patients nécessitent un suivi médical régulier qui a pu être perturbé en raison des circonstances.
Vous avez beaucoup apprécié le tour d’horizon il y a trois semaines en cardiologie, en oncologie et en psychiatrie. Place cette semaine à la rhumatologie avec le professeur Jean Sibilia, chef de service de rhumatologie au CHU de Strasbourg. Une spécialité avec de nombreux malades chroniques…
Quels enseignements, quelles conclusions tirer, et surtout, que conseiller aux médecins généralistes ou libéraux d’autres spécialités qui vont voir arriver ces malades, en nombre prévoient les spécialistes et, paraît-il, en mauvaise santé ?
Notre second invité, lui, traite une majorité de gens bien portants, pratiquement que des femmes mais très concernées par la pandémie puisqu’elles sont enceintes ; le professeur Jean-Marc Ayoubi est en effet chef du service d’obstétrique de l’hôpital Foch à Suresnes. Et pour lui, le coronavirus a été un facteur de perturbation important.


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