onco-dermatologie
Mélanome et immunothérapie : gare aux effets secondaires tardifs après l’introduction
Les inhibiteurs de checkpoints (anti-PD-1 tels que nivolumab ou pembrolizumab) font désormais partie du gold standard de la prise en charge du mélanome métastatique et restent connus pour être pourvoyeurs d’effets secondaires immuno-induits dans un délai médian de 40 jours après introduction. Cependant, des effets secondaires ont été rapportés au-delà de deux ans après initiation du traitement, certains de haut garde (III-IV) et doivent faire prolonger la surveillance post-traitement.
Pour pouvoir accéder à cette page, vous devez vous connecter.
Découverte d'un diabète de type 2 et protection ...
22 Octobre 2025
LLC en rechute chez un homme de 65 ans
17 Septembre 2025
Lombalgie chronique : peut-on améliorer le ...
14 Août 2025
Décryptage
HTA de la personne âgée : faut-il la contrôler ...
23 Juin 2023
COVID Long, des symptômes fréquents et ...
17 Mars 2023
Immunomodulation et immunothérapie : le futur du ...
06 Juillet 2022
Myélome et révolution des imids
06 Juillet 2022
Hypotension orthostatique : quand la pression ...
14 Mars 2025
Drépanocytose : une déformation des globules ...
22 Juillet 2024
Maladie de Charcot (Sclérose latérale ...
04 Avril 2024
Grains de beauté de l'enfant : à protéger du ...
11 Mars 2024








