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Colliers d’ambre : la plupart sont à haut risque pour les enfants
Alerte de la DGCCRF

Colliers d’ambre : la plupart sont à haut risque pour les enfants

par Julie Levallois
La Direction de la répression des fraudes alerte sur les colliers d'ambre. La plupart sont de mauvaise qualité et peuvent causer strangulation et étouffement des enfants.
Colliers d’ambre : la plupart sont à haut risque pour les enfants
Dessie_bg/epictura

Ces petites perles d’ambre sont bien connues des parents. Mais ces colliers, réputés pour calmer la douleur des poussées dentaires, feraient mieux de rester dans le coffret à bijoux. La majorité des colliers sur le marché ne respectent pas les règles de sécurité, d’après l’enquête menée par la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF).

En 2011 déjà, la Direction a pointé le risque d’étranglement lié aux colliers d’ambre. 6 ans plus tard, les anomalies persistent. Sur les 32 produits analysés en laboratoire, la majorité ne respecte pas l’obligation générale de sécurité. 16 fabricants ont reçu un avertissement à ce sujet et 28 colliers sont considérés comme dangereux.

Des allégations trompeuses

Qualité du fil, résistance du fermoir, tressage des perles… Les zones à risque sont nombreuses sur ces produits. Le public visé est pourtant connu pour sa fragilité. La moindre ingestion peut provoquer un étouffement, et il n’est pas rare pour un bébé de tirer sur un collier.

Mais la qualité des bjoux n’est pas le seul point mis en cause par la DGCCRF. L’agence dénonce aussi l’information incomplète, voire mensongère, des clients. Sur la moitié des produits, aucun avertissement ne figure sur les risques du produit. Trop de fabricants émettent aussi des allégations de santé injustifiées. Bracelets et colliers se vantent de propriétés anti-inflammatoires, antibactériennes ou antioxydantes.

Un fabricant a reçu une injonction de la part de la DGCCRF. Elle exige que les mentions obligatoires soient ajoutées aux emballages. L’agence a aussi émis trois avertissements concernant des allégations thérapeutiques non justifiées et non prouvées.

L’Europe alertée

L’explication de ces manquements nombreux est simple. Les produits sont usinés au sein de l’Union européenne. Mais la majorité des fabricants n’a pas conscience de l’obligation générale de sécurité. Ils ne sont pas non plus friands de l’autocontrôle, trop coûteux au vu du prix de vente.

Certains revendeurs, de leur côté, font preuve de mauvaise volonté en ne signalant pas les produits non-conformes. La qualité étant irrégulière, cela complique encore la situation. Au vu de ce bilan catastrophique, la DGCCRF a alerté ses voisins européens. Une campagne de communication devrait aussi être organisée sur le site internet de l’agence. Elle a pour objectif d’attirer l’attention des parents sur les risques.

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Colliers d’ambre : la plupart sont à haut risque pour les enfants
Alerte de la DGCCRF

Colliers d’ambre : la plupart sont à haut risque pour les enfants

par Julie Levallois
La Direction de la répression des fraudes alerte sur les colliers d'ambre. La plupart sont de mauvaise qualité et peuvent causer strangulation et étouffement des enfants.
Colliers d’ambre : la plupart sont à haut risque pour les enfants
Dessie_bg/epictura
Publié le 19.05.2017 à 13h13
A A

Ces petites perles d’ambre sont bien connues des parents. Mais ces colliers, réputés pour calmer la douleur des poussées dentaires, feraient mieux de rester dans le coffret à bijoux. La majorité des colliers sur le marché ne respectent pas les règles de sécurité, d’après l’enquête menée par la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF).

En 2011 déjà, la Direction a pointé le risque d’étranglement lié aux colliers d’ambre. 6 ans plus tard, les anomalies persistent. Sur les 32 produits analysés en laboratoire, la majorité ne respecte pas l’obligation générale de sécurité. 16 fabricants ont reçu un avertissement à ce sujet et 28 colliers sont considérés comme dangereux.

Des allégations trompeuses

Qualité du fil, résistance du fermoir, tressage des perles… Les zones à risque sont nombreuses sur ces produits. Le public visé est pourtant connu pour sa fragilité. La moindre ingestion peut provoquer un étouffement, et il n’est pas rare pour un bébé de tirer sur un collier.

Mais la qualité des bjoux n’est pas le seul point mis en cause par la DGCCRF. L’agence dénonce aussi l’information incomplète, voire mensongère, des clients. Sur la moitié des produits, aucun avertissement ne figure sur les risques du produit. Trop de fabricants émettent aussi des allégations de santé injustifiées. Bracelets et colliers se vantent de propriétés anti-inflammatoires, antibactériennes ou antioxydantes.

Un fabricant a reçu une injonction de la part de la DGCCRF. Elle exige que les mentions obligatoires soient ajoutées aux emballages. L’agence a aussi émis trois avertissements concernant des allégations thérapeutiques non justifiées et non prouvées.

L’Europe alertée

L’explication de ces manquements nombreux est simple. Les produits sont usinés au sein de l’Union européenne. Mais la majorité des fabricants n’a pas conscience de l’obligation générale de sécurité. Ils ne sont pas non plus friands de l’autocontrôle, trop coûteux au vu du prix de vente.

Certains revendeurs, de leur côté, font preuve de mauvaise volonté en ne signalant pas les produits non-conformes. La qualité étant irrégulière, cela complique encore la situation. Au vu de ce bilan catastrophique, la DGCCRF a alerté ses voisins européens. Une campagne de communication devrait aussi être organisée sur le site internet de l’agence. Elle a pour objectif d’attirer l’attention des parents sur les risques.

Vu Dans la presse

Alerte de la DGCCRF

Colliers d’ambre : la plupart sont à haut risque pour les enfants

Par Julie Levallois
+A -A
19.05.2017 à 13h13
Dessie_bg/epictura

Ces petites perles d’ambre sont bien connues des parents. Mais ces colliers, réputés pour calmer la douleur des poussées dentaires, feraient mieux de rester dans le coffret à bijoux. La majorité des colliers sur le marché ne respectent pas les règles de sécurité, d’après l’enquête menée par la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF).

En 2011 déjà, la Direction a pointé le risque d’étranglement lié aux colliers d’ambre. 6 ans plus tard, les anomalies persistent. Sur les 32 produits analysés en laboratoire, la majorité ne respecte pas l’obligation générale de sécurité. 16 fabricants ont reçu un avertissement à ce sujet et 28 colliers sont considérés comme dangereux.

Des allégations trompeuses

Qualité du fil, résistance du fermoir, tressage des perles… Les zones à risque sont nombreuses sur ces produits. Le public visé est pourtant connu pour sa fragilité. La moindre ingestion peut provoquer un étouffement, et il n’est pas rare pour un bébé de tirer sur un collier.

Mais la qualité des bjoux n’est pas le seul point mis en cause par la DGCCRF. L’agence dénonce aussi l’information incomplète, voire mensongère, des clients. Sur la moitié des produits, aucun avertissement ne figure sur les risques du produit. Trop de fabricants émettent aussi des allégations de santé injustifiées. Bracelets et colliers se vantent de propriétés anti-inflammatoires, antibactériennes ou antioxydantes.

Un fabricant a reçu une injonction de la part de la DGCCRF. Elle exige que les mentions obligatoires soient ajoutées aux emballages. L’agence a aussi émis trois avertissements concernant des allégations thérapeutiques non justifiées et non prouvées.

L’Europe alertée

L’explication de ces manquements nombreux est simple. Les produits sont usinés au sein de l’Union européenne. Mais la majorité des fabricants n’a pas conscience de l’obligation générale de sécurité. Ils ne sont pas non plus friands de l’autocontrôle, trop coûteux au vu du prix de vente.

Certains revendeurs, de leur côté, font preuve de mauvaise volonté en ne signalant pas les produits non-conformes. La qualité étant irrégulière, cela complique encore la situation. Au vu de ce bilan catastrophique, la DGCCRF a alerté ses voisins européens. Une campagne de communication devrait aussi être organisée sur le site internet de l’agence. Elle a pour objectif d’attirer l’attention des parents sur les risques.

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