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Zika : le virus serait sexuellement transmissible

Zika : le virus serait sexuellement transmissible

par Stéphany Gardier

Le virus Zika continue de compliquer la tâche des autorités sanitaires. Alors que l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a décidé, ce lundi, de faire du virus une « urgence de santé publique de portée mondiale », un cas d’infection par contact sexuel aurait été recensé au Texas, selon l’Agence France Presse. Si ce mode de transmission était confirmé, l’épidémie pourrait se répandre encore plus vite que prévu.

Les personnes contaminées par le virus Zika en Amérique du Sud et aux Antilles se comptent aujourd’hui par milliers. Les symptômes provoqués par cet arbovirus, « cousin » de la dengue et du chikungunya, sont le plus souvent bénins, et peu spécifiques. A l’exception de quelques cas rapportés de syndrome de Guillain-Barré, le virus semble peu dangereux pour les adultes en bonne santé.

Ce sont les enfants à naître qui sont les plus menacés par ce virus, dont on pensait jusqu’ici qu’il n’était transmis que par la piqûre du moustique Aedes Aegypti ou Aedes albopictus (le fameux moustique-tigre). Aucune preuve scientifique n’a encore pu établir un lien de cause à effet entre le virus et la microcéphalie. Mais l’explosion du nombre de bébés touchés par cette malformation congénitale est telle, au Brésil, que les autorités sanitaires, et l’OMS en premier lieu, appellent aujourd'hui les futures mères à la plus grande prudence.
Plusieurs pays sud-américains n’ont ainsi pas hésité à demander aux femmes de reporter leur projet de grossesse de plusieurs mois, le temps que la saison hivernale – peu favorable aux moustiques – arrive. Le Salvador a, lui, été plus loin, demandant aux couples d’attendre jusqu'en 2018 ! Mais peut-être la précaution n’est-elle pas tant exagérée, si le virus peut rester présent dans le sperme, comme on le craint maintenant.

Pour l’heure, les services de santé du comté de Dallas ont juste fait savoir qu’un patient avait été infecté par le virus « après avoir eu des relations sexuelles avec une personne malade de retour d’un pays où le virus est présent ». Une information qui n’a pas été officiellement confirmée par les CDC, qui ont précisé à l’AFP ne pas avoir pu enquêter sur ce cas.
Mais un premier cas de transmission sexuelle avait déjà été rapporté aux Etats-Unis : une femme infectée par son mari, après que celui-ci a contracté le virus lors d’un séjour en Afrique. Anne Schuchat, directrice adjointe des CDC, a confirmé à l'AFP que de tels exemples « rendent biologiquement plausible une transmission par contacts sexuels », précisant néanmoins que le mode de transmission majeur restait bien la piqûre d’un moustique infecté.

Zika ne provoque pas toujours de symptômes chez les personnes infectées. Les autorités sanitaires pourraient donc ajouter à leurs recommandations actuelles le port du préservatif, y compris pour les personnes de retour d’un pays où les moustiques vecteurs sévissent. Lors de l’épidémie d’Ebola, les scientifiques ont découvert tardivement que le virus pouvait rester présent dans le sperme durant des mois, un élément qui a contribué à favoriser la résurgence de foyers épidémiques. Pour endiguer l’épidémie de Zika, il est aujourd'hui crucial que les chercheurs puissent avancer plus rapidement leurs travaux, et disposent donc des moyens nécessaires.

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Zika : le virus serait sexuellement transmissible

Zika : le virus serait sexuellement transmissible

par Stéphany Gardier
Publié le 03.02.2016 à 07h48
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Le virus Zika continue de compliquer la tâche des autorités sanitaires. Alors que l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a décidé, ce lundi, de faire du virus une « urgence de santé publique de portée mondiale », un cas d’infection par contact sexuel aurait été recensé au Texas, selon l’Agence France Presse. Si ce mode de transmission était confirmé, l’épidémie pourrait se répandre encore plus vite que prévu.

Les personnes contaminées par le virus Zika en Amérique du Sud et aux Antilles se comptent aujourd’hui par milliers. Les symptômes provoqués par cet arbovirus, « cousin » de la dengue et du chikungunya, sont le plus souvent bénins, et peu spécifiques. A l’exception de quelques cas rapportés de syndrome de Guillain-Barré, le virus semble peu dangereux pour les adultes en bonne santé.

Ce sont les enfants à naître qui sont les plus menacés par ce virus, dont on pensait jusqu’ici qu’il n’était transmis que par la piqûre du moustique Aedes Aegypti ou Aedes albopictus (le fameux moustique-tigre). Aucune preuve scientifique n’a encore pu établir un lien de cause à effet entre le virus et la microcéphalie. Mais l’explosion du nombre de bébés touchés par cette malformation congénitale est telle, au Brésil, que les autorités sanitaires, et l’OMS en premier lieu, appellent aujourd'hui les futures mères à la plus grande prudence.
Plusieurs pays sud-américains n’ont ainsi pas hésité à demander aux femmes de reporter leur projet de grossesse de plusieurs mois, le temps que la saison hivernale – peu favorable aux moustiques – arrive. Le Salvador a, lui, été plus loin, demandant aux couples d’attendre jusqu'en 2018 ! Mais peut-être la précaution n’est-elle pas tant exagérée, si le virus peut rester présent dans le sperme, comme on le craint maintenant.

Pour l’heure, les services de santé du comté de Dallas ont juste fait savoir qu’un patient avait été infecté par le virus « après avoir eu des relations sexuelles avec une personne malade de retour d’un pays où le virus est présent ». Une information qui n’a pas été officiellement confirmée par les CDC, qui ont précisé à l’AFP ne pas avoir pu enquêter sur ce cas.
Mais un premier cas de transmission sexuelle avait déjà été rapporté aux Etats-Unis : une femme infectée par son mari, après que celui-ci a contracté le virus lors d’un séjour en Afrique. Anne Schuchat, directrice adjointe des CDC, a confirmé à l'AFP que de tels exemples « rendent biologiquement plausible une transmission par contacts sexuels », précisant néanmoins que le mode de transmission majeur restait bien la piqûre d’un moustique infecté.

Zika ne provoque pas toujours de symptômes chez les personnes infectées. Les autorités sanitaires pourraient donc ajouter à leurs recommandations actuelles le port du préservatif, y compris pour les personnes de retour d’un pays où les moustiques vecteurs sévissent. Lors de l’épidémie d’Ebola, les scientifiques ont découvert tardivement que le virus pouvait rester présent dans le sperme durant des mois, un élément qui a contribué à favoriser la résurgence de foyers épidémiques. Pour endiguer l’épidémie de Zika, il est aujourd'hui crucial que les chercheurs puissent avancer plus rapidement leurs travaux, et disposent donc des moyens nécessaires.

Vu Dans la presse

Zika : le virus serait sexuellement transmissible

Par Stéphany Gardier
+A -A
03.02.2016 à 07h48

Le virus Zika continue de compliquer la tâche des autorités sanitaires. Alors que l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a décidé, ce lundi, de faire du virus une « urgence de santé publique de portée mondiale », un cas d’infection par contact sexuel aurait été recensé au Texas, selon l’Agence France Presse. Si ce mode de transmission était confirmé, l’épidémie pourrait se répandre encore plus vite que prévu.

Les personnes contaminées par le virus Zika en Amérique du Sud et aux Antilles se comptent aujourd’hui par milliers. Les symptômes provoqués par cet arbovirus, « cousin » de la dengue et du chikungunya, sont le plus souvent bénins, et peu spécifiques. A l’exception de quelques cas rapportés de syndrome de Guillain-Barré, le virus semble peu dangereux pour les adultes en bonne santé.

Ce sont les enfants à naître qui sont les plus menacés par ce virus, dont on pensait jusqu’ici qu’il n’était transmis que par la piqûre du moustique Aedes Aegypti ou Aedes albopictus (le fameux moustique-tigre). Aucune preuve scientifique n’a encore pu établir un lien de cause à effet entre le virus et la microcéphalie. Mais l’explosion du nombre de bébés touchés par cette malformation congénitale est telle, au Brésil, que les autorités sanitaires, et l’OMS en premier lieu, appellent aujourd'hui les futures mères à la plus grande prudence.
Plusieurs pays sud-américains n’ont ainsi pas hésité à demander aux femmes de reporter leur projet de grossesse de plusieurs mois, le temps que la saison hivernale – peu favorable aux moustiques – arrive. Le Salvador a, lui, été plus loin, demandant aux couples d’attendre jusqu'en 2018 ! Mais peut-être la précaution n’est-elle pas tant exagérée, si le virus peut rester présent dans le sperme, comme on le craint maintenant.

Pour l’heure, les services de santé du comté de Dallas ont juste fait savoir qu’un patient avait été infecté par le virus « après avoir eu des relations sexuelles avec une personne malade de retour d’un pays où le virus est présent ». Une information qui n’a pas été officiellement confirmée par les CDC, qui ont précisé à l’AFP ne pas avoir pu enquêter sur ce cas.
Mais un premier cas de transmission sexuelle avait déjà été rapporté aux Etats-Unis : une femme infectée par son mari, après que celui-ci a contracté le virus lors d’un séjour en Afrique. Anne Schuchat, directrice adjointe des CDC, a confirmé à l'AFP que de tels exemples « rendent biologiquement plausible une transmission par contacts sexuels », précisant néanmoins que le mode de transmission majeur restait bien la piqûre d’un moustique infecté.

Zika ne provoque pas toujours de symptômes chez les personnes infectées. Les autorités sanitaires pourraient donc ajouter à leurs recommandations actuelles le port du préservatif, y compris pour les personnes de retour d’un pays où les moustiques vecteurs sévissent. Lors de l’épidémie d’Ebola, les scientifiques ont découvert tardivement que le virus pouvait rester présent dans le sperme durant des mois, un élément qui a contribué à favoriser la résurgence de foyers épidémiques. Pour endiguer l’épidémie de Zika, il est aujourd'hui crucial que les chercheurs puissent avancer plus rapidement leurs travaux, et disposent donc des moyens nécessaires.

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