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PayeTonUterus : les femmes révèlent ce que leur disent leurs gynécos

PayeTonUterus : les femmes révèlent ce que leur disent leurs gynécos

par Cécile Coumau

« Je voudrais prendre la pilule - vous êtes trop jeune pour avoir des rapports sexuels ». « Si vous êtes aussi coincée avec votre ami qu'avec moi, pas étonnant que vous n'ayez pas de plaisir ». Ces deux citations ont un point commun : elles font moins 140 caractères. Depuis mercredi, des messages racontant les « galères médicales » des femmes chez leur médecin, et notamment leur gynéco fleurissent sur Twitter. Comme le raconte l'Express, c'est une étudiante en pharmacie qui a lancé le mouvement #PayeTonUterus.

Et manifestement, les femmes ont besoin de raconter ce qui se passe dans l'intimité des cabinets médicaux. En effet, le hashtag en question était hier l'un des cinq mots clés les plus populaires de la twittosphère francophone, rapporte l'hebdomadaire.


Ce florilège de remarques machistes, totalement déplacées, culpabilisantes, témoigne d'une réalité peu connue, celle que vivent encore quotidiennement bon nombre de femmes et qui semble d'une autre ère. Les droits à la contraception, à une sexualité choisie et donc en quelque sorte le droit des femmes à disposer librement de leur corps, ne sont manifestement pas encore des droits totalement acquis. Mais ce que montrent ces messages sur Twitter, c'est que les relations d'égal à égal entre patients et soignants ne sont pas encore tout à fait une réalité. Le médecin paternaliste n'a pas totalement disparu. La preuve sur Twitter : « 28 ans et vous ne voulez pas d'enfants ? On va vérifier vos taux hormonaux ».

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PayeTonUterus : les femmes révèlent ce que leur disent leurs gynécos

PayeTonUterus : les femmes révèlent ce que leur disent leurs gynécos

par Cécile Coumau
Publié le 20.11.2014 à 08h19  Mis à jour le 20.11.2014 à 10h18
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« Je voudrais prendre la pilule - vous êtes trop jeune pour avoir des rapports sexuels ». « Si vous êtes aussi coincée avec votre ami qu'avec moi, pas étonnant que vous n'ayez pas de plaisir ». Ces deux citations ont un point commun : elles font moins 140 caractères. Depuis mercredi, des messages racontant les « galères médicales » des femmes chez leur médecin, et notamment leur gynéco fleurissent sur Twitter. Comme le raconte l'Express, c'est une étudiante en pharmacie qui a lancé le mouvement #PayeTonUterus.

Et manifestement, les femmes ont besoin de raconter ce qui se passe dans l'intimité des cabinets médicaux. En effet, le hashtag en question était hier l'un des cinq mots clés les plus populaires de la twittosphère francophone, rapporte l'hebdomadaire.


Ce florilège de remarques machistes, totalement déplacées, culpabilisantes, témoigne d'une réalité peu connue, celle que vivent encore quotidiennement bon nombre de femmes et qui semble d'une autre ère. Les droits à la contraception, à une sexualité choisie et donc en quelque sorte le droit des femmes à disposer librement de leur corps, ne sont manifestement pas encore des droits totalement acquis. Mais ce que montrent ces messages sur Twitter, c'est que les relations d'égal à égal entre patients et soignants ne sont pas encore tout à fait une réalité. Le médecin paternaliste n'a pas totalement disparu. La preuve sur Twitter : « 28 ans et vous ne voulez pas d'enfants ? On va vérifier vos taux hormonaux ».

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PayeTonUterus : les femmes révèlent ce que leur disent leurs gynécos

Par Cécile Coumau
+A -A
20.11.2014 à 08h19

« Je voudrais prendre la pilule - vous êtes trop jeune pour avoir des rapports sexuels ». « Si vous êtes aussi coincée avec votre ami qu'avec moi, pas étonnant que vous n'ayez pas de plaisir ». Ces deux citations ont un point commun : elles font moins 140 caractères. Depuis mercredi, des messages racontant les « galères médicales » des femmes chez leur médecin, et notamment leur gynéco fleurissent sur Twitter. Comme le raconte l'Express, c'est une étudiante en pharmacie qui a lancé le mouvement #PayeTonUterus.

Et manifestement, les femmes ont besoin de raconter ce qui se passe dans l'intimité des cabinets médicaux. En effet, le hashtag en question était hier l'un des cinq mots clés les plus populaires de la twittosphère francophone, rapporte l'hebdomadaire.


Ce florilège de remarques machistes, totalement déplacées, culpabilisantes, témoigne d'une réalité peu connue, celle que vivent encore quotidiennement bon nombre de femmes et qui semble d'une autre ère. Les droits à la contraception, à une sexualité choisie et donc en quelque sorte le droit des femmes à disposer librement de leur corps, ne sont manifestement pas encore des droits totalement acquis. Mais ce que montrent ces messages sur Twitter, c'est que les relations d'égal à égal entre patients et soignants ne sont pas encore tout à fait une réalité. Le médecin paternaliste n'a pas totalement disparu. La preuve sur Twitter : « 28 ans et vous ne voulez pas d'enfants ? On va vérifier vos taux hormonaux ».

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