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Menace bioterroriste : comment la France se prépare
Gaz, virus, bactéries...

Menace bioterroriste : comment la France se prépare

par Marion Guérin

Le risque d'attaques chimiques et biolgiques est à l'étude depuis plusieurs années par les autorités, qui ont mis en place des dispositifs afin de répondre à la menace.

Menace bioterroriste : comment la France se prépare
Face à la menace d'attentat chimique par Daesh, les Syriens s'entraînent Uncredited/AP/SIPA

« L’imagination macabre des donneurs d’ordre est sans limite ». Ce jeudi, la teneur du discours de Manuel Valls devant l’Assemblée Nationale n’était pas des plus rassurantes. Le Premier ministre a ainsi évoqué les différents procédés envisagés par les groupes terroristes pour mettre en œuvre des attentats. Au menu des réjouissances : « Fusil d’assaut, décapitation, armes blanches, bombe humaine »… ainsi que des attaques chimiques et biologiques.

Gaz sarin et moutarde : les plus probables

Le risque d’un attentat par le biais d’une arme chimique semble réel – même s’il reste fortement limité par les capacités techniques et financières de Daesh. Pour s’en prémunir, les autorités ont demandé, à la veille de la COP21, que la Pharmacie centrale des armées approvisionne l'Etablissement de préparation et de réponse aux urgences sanitaires en sulfate d’atropine, un antidote aux neurotoxiques de guerre dérivés des insecticides organo-phosphorés (gaz Sarin, Tabun, Soman ou Vx).

Si la probabilité d’y avoir recours demeure faible, cette disposition permettra de coordonner une réponse rapide en cas d’attaque chimique. De fait, ces gaz sont les plus susceptibles d’être utilisés par les groupes jihadistes (Al-Nosra et Etat Islamique), soupçonnés de les avoir employés en Syrie et en Irak. Mais la panoplie d’armes chimiques potentielles ne se réduit pas à cette seule liste.

En juillet, des combattants peshmergas (kurdes) ont ainsi affirmé avoir été victimes de projectiles dégageant un « gaz jaune avec une forte odeur d’oignon pourri » – probablement du gaz chloré, ou bien de l’Ypérite, dit gaz moutarde, un vésicant qui provoque des dommages irrémédiables à la peau, aux yeux et aux muqueuses, et auquel il n’existe aucun antidote. L’information a été confirmée par l’Observatoire syrien des droits de l’Homme.

Anthrax, variole

Les risques d’attaque biologique, à l’aide d’agents pathogènes (bactéries, virus, champignons, toxines), sont également à l’étude. La contamination peut avoir lieu selon différents modes : aérosolisation (diffusion aérienne des agents pathogènes pour provoquer une contamination aérienne), contamination des réseaux d’eau ou de la chaîne alimentaire. Ainsi, le bétail peut être visé par ces attaques, ou encore l’agriculture.

Selon le site du ministère de la Santé, plusieurs agents comptent parmi les menaces les plus sérieuses. Il en va ainsi des pox virus, responsables de la variole, ou encore de la bactérie Bacillus anthracis, qui provoque la maladie du charbon (ou Anthrax).
Aux Etats-Unis, des enveloppes contaminées au bacille du charbon, envoyées une semaine après les attentats du 11 septembre, ont semé un vent de panique. Le mode opératoire, très imprévisible, y a largement contribué.

Le gouvernement cite d’autres agents en première ligne : la bactérie Francisella tularensis, responsable de la tularémie, une maladie infectieuse potentiellement mortelle, ou encore la Yersinia pestis, responsable de la peste. Certaines toxines, comme la toxine diphtérique ou la toxine botulique, sont potentiellement utilisables comme arme biologique. Le groupe Australia, qui réunit 25 pays, dresse une liste exhaustive et actualisée de ces agents.

Les dispositifs en place

En réalité, ces menaces ne revêtent aucun caractère de nouveauté. Elles sont à l’étude depuis plusieurs années – depuis, notamment, les attentats au sarin perpétrés au Japon en 1994 et 1995. Des dispositifs ont été mis en place par les autorités afin de faire face à ces situations et de coordonner la réponse sanitaire. C’est le cas du plan gouvernemental NRBC, qui a vocation à « fournir une aide décisionnelle au Premier ministre en cas de menace d'exécution ou d'exécution avérée d'une action malveillante ou à caractère terroriste utilisant des matières NRBC » (Nucléaires, Radiologiques, Biologiques, Chimiques).

En cas d’exposition à un agent biologique, la prise en charge des victimes est organisée dans le cadre du dispositif ORSAN-BIO. Le Samu a pour mission la prise en charge médicale urgente et la régulation des victimes dans les établissements de santé.

Le plan prévoit, pour une maladie à transmission interhumaine, la prise en charge de 200 cas index dans une agglomération prioritaire, avec potentiellement 2 000 personnes à traiter simultanément dans le système de santé (15 000 pour une maladie non transmissible, pour une phylaxie collective).

Pour le risque chimique, c’est la Circulaire « 700 » qui détermine les procédures à mettre en œuvre pour préserver la vie des victimes et des sauveteurs, limiter les conséquences de l’agression sur l’environnement et les individus, notamment par neutralisation du transfert de contamination.

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Gaz, virus, bactéries...

Menace bioterroriste : comment la France se prépare

par Marion Guérin

Le risque d'attaques chimiques et biolgiques est à l'étude depuis plusieurs années par les autorités, qui ont mis en place des dispositifs afin de répondre à la menace.

Menace bioterroriste : comment la France se prépare
Face à la menace d'attentat chimique par Daesh, les Syriens s'entraînent Uncredited/AP/SIPA
Publié le 20.11.2015 à 11h00
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« L’imagination macabre des donneurs d’ordre est sans limite ». Ce jeudi, la teneur du discours de Manuel Valls devant l’Assemblée Nationale n’était pas des plus rassurantes. Le Premier ministre a ainsi évoqué les différents procédés envisagés par les groupes terroristes pour mettre en œuvre des attentats. Au menu des réjouissances : « Fusil d’assaut, décapitation, armes blanches, bombe humaine »… ainsi que des attaques chimiques et biologiques.

Gaz sarin et moutarde : les plus probables

Le risque d’un attentat par le biais d’une arme chimique semble réel – même s’il reste fortement limité par les capacités techniques et financières de Daesh. Pour s’en prémunir, les autorités ont demandé, à la veille de la COP21, que la Pharmacie centrale des armées approvisionne l'Etablissement de préparation et de réponse aux urgences sanitaires en sulfate d’atropine, un antidote aux neurotoxiques de guerre dérivés des insecticides organo-phosphorés (gaz Sarin, Tabun, Soman ou Vx).

Si la probabilité d’y avoir recours demeure faible, cette disposition permettra de coordonner une réponse rapide en cas d’attaque chimique. De fait, ces gaz sont les plus susceptibles d’être utilisés par les groupes jihadistes (Al-Nosra et Etat Islamique), soupçonnés de les avoir employés en Syrie et en Irak. Mais la panoplie d’armes chimiques potentielles ne se réduit pas à cette seule liste.

En juillet, des combattants peshmergas (kurdes) ont ainsi affirmé avoir été victimes de projectiles dégageant un « gaz jaune avec une forte odeur d’oignon pourri » – probablement du gaz chloré, ou bien de l’Ypérite, dit gaz moutarde, un vésicant qui provoque des dommages irrémédiables à la peau, aux yeux et aux muqueuses, et auquel il n’existe aucun antidote. L’information a été confirmée par l’Observatoire syrien des droits de l’Homme.

Anthrax, variole

Les risques d’attaque biologique, à l’aide d’agents pathogènes (bactéries, virus, champignons, toxines), sont également à l’étude. La contamination peut avoir lieu selon différents modes : aérosolisation (diffusion aérienne des agents pathogènes pour provoquer une contamination aérienne), contamination des réseaux d’eau ou de la chaîne alimentaire. Ainsi, le bétail peut être visé par ces attaques, ou encore l’agriculture.

Selon le site du ministère de la Santé, plusieurs agents comptent parmi les menaces les plus sérieuses. Il en va ainsi des pox virus, responsables de la variole, ou encore de la bactérie Bacillus anthracis, qui provoque la maladie du charbon (ou Anthrax).
Aux Etats-Unis, des enveloppes contaminées au bacille du charbon, envoyées une semaine après les attentats du 11 septembre, ont semé un vent de panique. Le mode opératoire, très imprévisible, y a largement contribué.

Le gouvernement cite d’autres agents en première ligne : la bactérie Francisella tularensis, responsable de la tularémie, une maladie infectieuse potentiellement mortelle, ou encore la Yersinia pestis, responsable de la peste. Certaines toxines, comme la toxine diphtérique ou la toxine botulique, sont potentiellement utilisables comme arme biologique. Le groupe Australia, qui réunit 25 pays, dresse une liste exhaustive et actualisée de ces agents.

Les dispositifs en place

En réalité, ces menaces ne revêtent aucun caractère de nouveauté. Elles sont à l’étude depuis plusieurs années – depuis, notamment, les attentats au sarin perpétrés au Japon en 1994 et 1995. Des dispositifs ont été mis en place par les autorités afin de faire face à ces situations et de coordonner la réponse sanitaire. C’est le cas du plan gouvernemental NRBC, qui a vocation à « fournir une aide décisionnelle au Premier ministre en cas de menace d'exécution ou d'exécution avérée d'une action malveillante ou à caractère terroriste utilisant des matières NRBC » (Nucléaires, Radiologiques, Biologiques, Chimiques).

En cas d’exposition à un agent biologique, la prise en charge des victimes est organisée dans le cadre du dispositif ORSAN-BIO. Le Samu a pour mission la prise en charge médicale urgente et la régulation des victimes dans les établissements de santé.

Le plan prévoit, pour une maladie à transmission interhumaine, la prise en charge de 200 cas index dans une agglomération prioritaire, avec potentiellement 2 000 personnes à traiter simultanément dans le système de santé (15 000 pour une maladie non transmissible, pour une phylaxie collective).

Pour le risque chimique, c’est la Circulaire « 700 » qui détermine les procédures à mettre en œuvre pour préserver la vie des victimes et des sauveteurs, limiter les conséquences de l’agression sur l’environnement et les individus, notamment par neutralisation du transfert de contamination.

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20.11.2015 à 11h00
Face à la menace d'attentat chimique par Daesh, les Syriens s'entraînent Uncredited/AP/SIPA

« L’imagination macabre des donneurs d’ordre est sans limite ». Ce jeudi, la teneur du discours de Manuel Valls devant l’Assemblée Nationale n’était pas des plus rassurantes. Le Premier ministre a ainsi évoqué les différents procédés envisagés par les groupes terroristes pour mettre en œuvre des attentats. Au menu des réjouissances : « Fusil d’assaut, décapitation, armes blanches, bombe humaine »… ainsi que des attaques chimiques et biologiques.

Gaz sarin et moutarde : les plus probables

Le risque d’un attentat par le biais d’une arme chimique semble réel – même s’il reste fortement limité par les capacités techniques et financières de Daesh. Pour s’en prémunir, les autorités ont demandé, à la veille de la COP21, que la Pharmacie centrale des armées approvisionne l'Etablissement de préparation et de réponse aux urgences sanitaires en sulfate d’atropine, un antidote aux neurotoxiques de guerre dérivés des insecticides organo-phosphorés (gaz Sarin, Tabun, Soman ou Vx).

Si la probabilité d’y avoir recours demeure faible, cette disposition permettra de coordonner une réponse rapide en cas d’attaque chimique. De fait, ces gaz sont les plus susceptibles d’être utilisés par les groupes jihadistes (Al-Nosra et Etat Islamique), soupçonnés de les avoir employés en Syrie et en Irak. Mais la panoplie d’armes chimiques potentielles ne se réduit pas à cette seule liste.

En juillet, des combattants peshmergas (kurdes) ont ainsi affirmé avoir été victimes de projectiles dégageant un « gaz jaune avec une forte odeur d’oignon pourri » – probablement du gaz chloré, ou bien de l’Ypérite, dit gaz moutarde, un vésicant qui provoque des dommages irrémédiables à la peau, aux yeux et aux muqueuses, et auquel il n’existe aucun antidote. L’information a été confirmée par l’Observatoire syrien des droits de l’Homme.

Anthrax, variole

Les risques d’attaque biologique, à l’aide d’agents pathogènes (bactéries, virus, champignons, toxines), sont également à l’étude. La contamination peut avoir lieu selon différents modes : aérosolisation (diffusion aérienne des agents pathogènes pour provoquer une contamination aérienne), contamination des réseaux d’eau ou de la chaîne alimentaire. Ainsi, le bétail peut être visé par ces attaques, ou encore l’agriculture.

Selon le site du ministère de la Santé, plusieurs agents comptent parmi les menaces les plus sérieuses. Il en va ainsi des pox virus, responsables de la variole, ou encore de la bactérie Bacillus anthracis, qui provoque la maladie du charbon (ou Anthrax).
Aux Etats-Unis, des enveloppes contaminées au bacille du charbon, envoyées une semaine après les attentats du 11 septembre, ont semé un vent de panique. Le mode opératoire, très imprévisible, y a largement contribué.

Le gouvernement cite d’autres agents en première ligne : la bactérie Francisella tularensis, responsable de la tularémie, une maladie infectieuse potentiellement mortelle, ou encore la Yersinia pestis, responsable de la peste. Certaines toxines, comme la toxine diphtérique ou la toxine botulique, sont potentiellement utilisables comme arme biologique. Le groupe Australia, qui réunit 25 pays, dresse une liste exhaustive et actualisée de ces agents.

Les dispositifs en place

En réalité, ces menaces ne revêtent aucun caractère de nouveauté. Elles sont à l’étude depuis plusieurs années – depuis, notamment, les attentats au sarin perpétrés au Japon en 1994 et 1995. Des dispositifs ont été mis en place par les autorités afin de faire face à ces situations et de coordonner la réponse sanitaire. C’est le cas du plan gouvernemental NRBC, qui a vocation à « fournir une aide décisionnelle au Premier ministre en cas de menace d'exécution ou d'exécution avérée d'une action malveillante ou à caractère terroriste utilisant des matières NRBC » (Nucléaires, Radiologiques, Biologiques, Chimiques).

En cas d’exposition à un agent biologique, la prise en charge des victimes est organisée dans le cadre du dispositif ORSAN-BIO. Le Samu a pour mission la prise en charge médicale urgente et la régulation des victimes dans les établissements de santé.

Le plan prévoit, pour une maladie à transmission interhumaine, la prise en charge de 200 cas index dans une agglomération prioritaire, avec potentiellement 2 000 personnes à traiter simultanément dans le système de santé (15 000 pour une maladie non transmissible, pour une phylaxie collective).

Pour le risque chimique, c’est la Circulaire « 700 » qui détermine les procédures à mettre en œuvre pour préserver la vie des victimes et des sauveteurs, limiter les conséquences de l’agression sur l’environnement et les individus, notamment par neutralisation du transfert de contamination.

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