Il s’agit d’une étude rétrospective, publiée dans Lung Cancer, portant sur 306 patients ayant reçu des anti-PD1, Nivloumab le plus souvent, puis une chimiothérapie. Au final, 28 patients ont été retenus pour observer les données cliniques et l’efficacité du traitement.
En terme de taux de réponse, l’efficacité a été de 39% soit 11 patients sur 28. Ces résultats sont bien supérieurs à ceux observés habituellement. Les métastases hépatiques semblent apparaitre comme un facteur prédictif.
Selon Pascale Tomasini, CH Marseille, les limites de cette étude résident dans son caractère rétrospectif et surtout dans le faible nombre de patients suivis.
Pour confirmer cette impression d’efficacité, une explication biologique prouvant que l’immunothérapie entraine une stimulation des lymphocytes T cytotoxiques bien au-delà de l’arrêt du traitement, est nécessaire.
En effet, dans cette étude, on peut considérer que l’immunothérapie et la chimiothérapie sont quasi concomitantes, le délai observé entre les 2 étant de moins d’un mois.
Pour Pascale Tomasini, l’étape suivante serait des recommandations proposant l’immunothérapie en deuxième ligne puis la chimiothérapie. En allant plus loin, l’immunothérapie n’empêchant pas la chimiothérapie d’être efficace, on pourrait imaginer continuer l’immunothérapie en associant la chimiothérapie.
En conclusion, malgré le caractère rétrospectif de cette étude et le faible nombre de patients suivis, l’intérêt de la chimiothérapie après immunothérapie semble évident. D’autres études seraient intéressantes pour ouvrir la voie vers la piste de l’immunothérapie et chimiothérapie concomitantes.
Il s’agit d’une étude rétrospective, publiée dans Lung Cancer, portant sur 306 patients ayant reçu des anti-PD1, Nivloumab le plus souvent, puis une chimiothérapie. Au final, 28 patients ont été retenus pour observer les données cliniques et l’efficacité du traitement.
En terme de taux de réponse, l’efficacité a été de 39% soit 11 patients sur 28. Ces résultats sont bien supérieurs à ceux observés habituellement. Les métastases hépatiques semblent apparaitre comme un facteur prédictif.
Selon Pascale Tomasini, CH Marseille, les limites de cette étude résident dans son caractère rétrospectif et surtout dans le faible nombre de patients suivis.
Pour confirmer cette impression d’efficacité, une explication biologique prouvant que l’immunothérapie entraine une stimulation des lymphocytes T cytotoxiques bien au-delà de l’arrêt du traitement, est nécessaire.
En effet, dans cette étude, on peut considérer que l’immunothérapie et la chimiothérapie sont quasi concomitantes, le délai observé entre les 2 étant de moins d’un mois.
Pour Pascale Tomasini, l’étape suivante serait des recommandations proposant l’immunothérapie en deuxième ligne puis la chimiothérapie. En allant plus loin, l’immunothérapie n’empêchant pas la chimiothérapie d’être efficace, on pourrait imaginer continuer l’immunothérapie en associant la chimiothérapie.
En conclusion, malgré le caractère rétrospectif de cette étude et le faible nombre de patients suivis, l’intérêt de la chimiothérapie après immunothérapie semble évident. D’autres études seraient intéressantes pour ouvrir la voie vers la piste de l’immunothérapie et chimiothérapie concomitantes.
Il s’agit d’une étude rétrospective, publiée dans Lung Cancer, portant sur 306 patients ayant reçu des anti-PD1, Nivloumab le plus souvent, puis une chimiothérapie. Au final, 28 patients ont été retenus pour observer les données cliniques et l’efficacité du traitement.
En terme de taux de réponse, l’efficacité a été de 39% soit 11 patients sur 28. Ces résultats sont bien supérieurs à ceux observés habituellement. Les métastases hépatiques semblent apparaitre comme un facteur prédictif.
Selon Pascale Tomasini, CH Marseille, les limites de cette étude résident dans son caractère rétrospectif et surtout dans le faible nombre de patients suivis.
Pour confirmer cette impression d’efficacité, une explication biologique prouvant que l’immunothérapie entraine une stimulation des lymphocytes T cytotoxiques bien au-delà de l’arrêt du traitement, est nécessaire.
En effet, dans cette étude, on peut considérer que l’immunothérapie et la chimiothérapie sont quasi concomitantes, le délai observé entre les 2 étant de moins d’un mois.
Pour Pascale Tomasini, l’étape suivante serait des recommandations proposant l’immunothérapie en deuxième ligne puis la chimiothérapie. En allant plus loin, l’immunothérapie n’empêchant pas la chimiothérapie d’être efficace, on pourrait imaginer continuer l’immunothérapie en associant la chimiothérapie.
En conclusion, malgré le caractère rétrospectif de cette étude et le faible nombre de patients suivis, l’intérêt de la chimiothérapie après immunothérapie semble évident. D’autres études seraient intéressantes pour ouvrir la voie vers la piste de l’immunothérapie et chimiothérapie concomitantes.